J’ai débuté mon activité de psychothérapeute en 2007, évoluant pour une activité de psychopraticien et de psychanalyste. J’ai connu des réussites thérapeutiques mais aussi des échecs, des semi-échecs qui d’une vision optimiste et avec un brin d’humour sont autant de semi-réussites. Ces expériences m’ont confronté à certaines questions dont celle qui fût le point de départ de mes recherches.
Quelle était la cause des succès ou échecs thérapeutiques ?
Il m’aura été nécessaire un peu plus de 10 années d’expériences, faites de pratiques cliniques, d’analyses, de réflexions, d’échanges et confrontations méthodologiques comme théoriques pour enfin obtenir de sérieuses pistes et réponses à découvrir ou approfondir.
C’est de là, à la croisée de la psychanalyse, de différentes pratiques thérapeutiques et philosophiques, des neurosciences, des T.C.C.E. et de la sophrologie, à la « croisée des mondes » pourrait-on dire, que celles-ci me sont venues.
J’ai pu alors concevoir en 2015-2016 une méthode qui puisse en unifiant les pensées, émotions et comportements, permettre de résoudre rapidement, efficacement et aussi durablement divers troubles envahissants comme les peurs, angoisses, phobies, stress, traumatismes avec syndrome de stress…
En fait, tout ce qui est réactionnel à une émotion et perception négatives en lien avec le circuit de la peur et du stress.
Je pars du principe théorique constamment vérifié par la pratique que c’est la charge énergétique en excès ou supplémentaire ou résiduelle d’une expérience vécue qui, n’ayant pu trouver lors de l’événement un moyen de décharge adéquat autre que le psychisme ou le corps, pose problème.
Il est donc nécessaire de libérer cet excès d’énergie.